Vert arrives a Taraso

[David DesChroniques]

Avec les dernieres lueurs du jour, Vert arrives a Taraso.

Il distingue au loin les echos du hameau qui va bientot s'endormir.

Il ne pense qu'a une chose, se repaitre et ensuite dormir. Bien sur, il a entendu parler de l'excellence de l'accueil de l'aubergiste Tarasonien dont le nom lui echappes.

#Ah! comme j'ai hate de gouter a son fameux ragout aux herbes elfiques!#

Arrivé a la place centrale, une silhouette familière lui cries

# Hé!! Vert!! mais que fais tu ici??#

[Morag]

HJ: Ce personnage n'est plus la shamane que j'ai joué au dernier Mirgovah, c'est mon peintre qui parle! Aussi, je vais essayer d'écrire les paroles de mon personnage comme je parlerais in game, donc si vous ne comprenez pas, lisez à voix haute, ça aide des fois!

*Morag était arrivée à Taraso quelques semaines auparavant. Les nobles de Sorieth l'avaient approchée pour qu'elle fasse des peintures de différents endroits du Mirgovah, et depuis lors elle se promenait de ville en ville à la recherche de gens ou de paysages à immortaliser. Il lui restait un peu moins de deux ans pour remplir sa commande, ce qui paraissait beaucoup pour tout le monde sauf pour elle. Depuis un moment elle était donc à Taraso, cherchant l'inspiration, mais ne trouvait pas grand monde qui voulait coopérer avec elle.
La peintre finit sa choppe de cidre et se leva pour aller payer quand elle vit une silhouette particulièrement familière entrer. Elle plissa les yeux, puis reconnut de qui il s'agissait. Elle s'avança en disant:*

-Hé, Vert, mais qué fais-tou ici?

*Elle avait un fort accent gitan qui laissant parfois les gens perplexes, mais qui faisait sa fierté.*

[David DesChroniques]

- Hé bien, par les racines du vieux Chene!! Morag! Mais comment se fait il qu'a chaque fois que je me deplaces un tant soi peu, je te rencontre ?? Ce que moi je fais a Taraso? Bien, j'en avais assez de jouer les aides de camp militaire et je me suis donc amené moi meme jusqu'ici. Je crois que je pourrai trouver une guilde druidique prete a m'accueillir pour un moment. Je crois que je vais me lancer en politique ma chere!

- Et toi? Quel paysage t'a attirée jusqu'a Taraso?

[Morag]

-Aïe, tou sais Vért, yé crois qué cértaines pérsonnes sonne fè pour sé rétrouvér partout. Au moins tou né pas oune pérsonne désagréable.

*Elle indiqua à Vert une table libre. La peintre alla s'y asseoir, invitant le druide à faire de même*

-Cé son lé noblé dé Sorieth qui ont décidé dé faire oune souffré douleur dé moi encore oune fois. La prochaine fois qu'ils mé démandent dé peintures, yé dis non, et yé déménage au Soud. Ils vélent touyours lé mémes choses, cé ennuyant.

*Se tournant vers l'aubergiste, qui était très sympatique, elle demanda:*

-Oune chope dé biére pour mon ami ici, s'il vous plé aubéryiste.

[David DesChroniques]

- Pour moi, ce ne seras qu'une assiette de fruits.

(Vert se penchas alors tout pret de l'oreille de Morag)

- Ne dis pas tout haut que si tu n'es pas satisfaite des conditions de travail du nord, tu iras au sud. ne crois tu pas que les gens autour de toi n'auront pas idée de te relier a ces memes gens du sud??
Surtout que tu n'es pas connue dans le village en plus.

(Vert se redressas et adressa un regard entendu tout autour d'eux)

[Morag]

-Aye, probablément, mais yé crois tout dé même qué ça féré du bien dé changer d'air dé temps en temps. Dé toute façon ma familia sé prommène partout, alors lé gens d'ici pévent bien penser cé qu'ils veulent, yé m'en moque un peu. Tou sais, la plous part du temp, les yitans né sont bien vu qué morts...

*Elle prit une gorgée de bièere, puis demanda:*

-Et qu'est-ce qué cé qué cette histoire dé politique, mon bon Vert? Tou m'intrigue, tou sais...

[David DesChroniques]

- Bah, tu sais, la vie de druide es une vie qui n'est pas tellement trépidante... Moi, parler aux ecureuils et aux fleurs ca va pour un temps, mais ca deviens lassant. Je crois que Taraso n'a pas de Maire pour le moment et je crois fermement qu'avec ma grande experience de la vie, je suis le candidat tout désigné.

Vert pris une grappe de raisin, les détachant un par un pour les avaler tout ronds par la suite. Il allongea les jambes en passant les bras en arriere de sa tête en adoptant un air satisfait.

- De toute facon, avec ma verve legendaire, je suis probablement en mesure de convaincre la gent paysanne de ma capacité a gouverner leur destinée et a assurer leur santé avec mes pouvoir druidiques et ma science de la flore.

- Morag, serais tu interessée a faire partie de ma campagne de charme envers les gens de Taraso? Jimagines que quelques peintures de propagande pour moi et contre mes futurs adversaires me placerais deja au centre de l'attention. qu'en dis tu??

[Morag]

-Aye, tou sè moi la propaganda... Yé déya ou dé problèmes avèc ça... Mè d'oun autré côté, cé vrai qué Taraso a bésoin d'oune maire pour dirigé lé péysantes. Yé t'offre mon aide, mé né m'apporté pas dé mérde parce qué sinon, yé té mét mon piéd au cul! Et tou sais comment mé bottes sont solides; à em botter lé coul d'oune ogre et lé faire pleurér dans sa mort.

[David DesChroniques]

mmhh? ah Morag, excuse moi, je m'étais assoupi profondement malgré notre passionante conversation.

J'ai repensé a tout ca et je suis vraiment dans le regret de tapprendre que je laisses tomber mon projet de devenir maire de Taraso. Je mennui beaucoup trop de Skwiskwi mon ecureuil volant albinos et je ne cesse de penser a me peloter contre lui et son poil noir comme la neige.

je crois que je vais de ce pas men aller et ne plus jamais revenir (ah non?) je mexcuse morag mais je te congédies sur le champ!

Vert se leva donc comme un seul homme et sorti en laissant la porte bien ouverte.

Presque au même moment, on vis une ombre de forte stature s'approcher de la dite porte, et au moment ou elle franchis l'embrasure l'ombre se transforma en un homme de forte stature aux cheveux de jais, avec des habits de noble et un enorme bijou rouge sang cerclé d'or.

Cetais le comte de Taraso Médérick LanceDonyx en personne!

[David DesChroniques]

Aubergiste, je prendrais bien une coupe de ton excellent vin des montagnes et je... mais que vois je!
une delicieuse artiste aux doigts teints des couleurs de son talent plus que probable, que me vaut l'honneur de votre presence dans mon humble village??

Sur ce il se baissa un peu pour baiser la main de morag, dun geste noble quoique non empreint des manieres de la haute cours, mais tenant plus dun gentillhomme de la campagne.

il etais sur quelle ne detournerais pas ses avances et au moment ou il effleura sa main...

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